En France, les associations SOS Homophobie et Paris Foot Gay, dans un communiqué commun, regrettent que «fidèles à leur ligne de conduite actuelle, les instances françaises [fassent] toujours la sourde oreille». Les déclarations de Didier Deschamps (lire Quotidien du 25 mai) et de Louis Nicollin (lire Quotidien du 31 mai), même s'ils ont présenté des excuses, n'ont pas fait réagir la Fédération française de football. «Faut-il donc attendre une agression homophobe sur un stade pour que les choses changent?», s'interrogent les associations, qui réclament aux instances du football de reconnaître les insultes et discriminations homophobes et de travailler avec elles pour mettre en place les actions adéquates en termes de prévention et d'information dans ce sport.
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