La 11è chambre de la cour d'appel a confirmé le jugement rendu en première instance en mars 2006, relaxant à la fois le journaliste-blogueur Christophe Grébert et son coprévenu, le quotidien Le Parisien.
"Ca fait quatre à zéro", a réagi mercredi Christophe Grébert après la décision de la cour d'appel, en rappelant être sorti victorieux d'une autre procédure face aux mêmes protagonistes, également en première instance et en appel.
En avril, la cour d'appel de Versailles avait confirmé la condamnation de Joëlle et Charles Ceccaldi-Raynaud à 2.500 euros d'amende chacun, respectivement pour diffamation et complicité. Ils avaient insinué dans une lettre publiée sur le site de la mairie que Christophe Grébert était pédophile.
Source gay : Ellico.com
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